Courge butternut bio
Cucurbita moschata
Les courges sont toutes originaires des Amériques, où elles s’épanouissaient déjà il y a plus de 12 000 ans. Les Indiens les cultivaient plutôt pour leurs graines. Christophe Colomb les découvre à Cuba et les ramène en Europe.
La Cucurbita moschata ou courge musquée, variété à laquelle appartient la courge butternut, vient plus précisément du Nord-Ouest de la Colombie et du Mexique. Elle est toujours très appréciée en Amérique du Sud, où elle garnit même des empañadas.
Au milieu des autres courges qui rivalisent de couleurs et de formes bizarres, elle aurait tendance à passer inaperçue avec sa forme callipyge et sa peau pâle. À tort car c’est l’une des plus savoureuses parmi les quelque 800 espèces de cucurbitacées.
Elle doit d’ailleurs son nom de butternut ou doubeurre à sa texture fondante et à l’impression de beurre qu’elle laisse en bouche.
À la différence de son écorce claire, sa chair est d’un bel orange, riche en carotène. On peine à définir son goût, entre carotte et châtaigne, patate douce et noix fraîche. Il est en tout cas plus fin, moins rustique que le potiron par exemple.
Se consomme idéalement :Provenance : Tous les légumes proposés sont produits à proximité de PODER et sont ramassés quotidiennement par nos soins. Quand la production locale vient à manquer, nous nous rapprochons de producteurs issus de région de production au climat plus clément pour vous offrir une qualité optimale en arrière-saison.
Conditionnement : en caisse de 8 kg
Les astuces poder :
Peler la butternut n’est pas toujours facile . Sa peau épaisse est effectivement très coriace. Heureusement, il existe une astuce pour la peler plus facilement
Conservation / Utilisation :Elle se conserve très bien plusieurs semaines dans un endroit sec et frais.
Précuite à l’eau, elle passe à la poêle ou s’accommode en gratin. Elle peut aussi agrémenter un couscous ou un curry. Réduite en purée, on peut la mélanger à des pommes de terre ou en faire une soupe. En version sucrée, elle se marie bien avec la cassonade et apporte du moelleux à une pâte à gâteau. À moins qu’on ne décide de la râper et de la croquer toute crue !